Oscilloscope Metrix Mod. 225 N° 075 2ème partie

Oscilloscopio Metrix Mod. 225 N° 075. Seconda parte.
 Nell’inventario D  del 1956, in data 1 settembre 1961, al n° 1981 si legge: “Ing. Ugo De  Lorenzo e Co. – Milano [importatore, N. d. R.], oscillografo Metrix mod. 225 N° 075. ₤ 390 000 . Prima destinazione: Rad”.
 Le istruzioni, conservate nell’archivio della sezione Elettronica, proseguono dalla prima parte.
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«CHAPITRE IV
 FONCTIONNEMENT

4-1 TUBE CATHODIQUE ET SON ALIMENTATION.
Le tube cathodique à forte sensibilité pour mesures est du type DG 7/36.
La tension de l’anode accélératrice est de 1.450 V. Cette haute tension
est obtenue à partir du réseau par un redressement monoalternance, à
l’aide de la valve 6X2 (L2). Le filtrage de la tension redressée est
obtenu
a l’aide de C3 C4 C5 – R1 et R2 .
Le potentiomètre P2 (Lumière) permet le règlage de la luminosité et le
potentiomètre P1 (concentration) le règlage optimum de la finesse du spot.
Ces règlages sont accessibles de la platine avant.

4-2 AMPLIFICATEUR DE DEVIATION VERTICALE.
Le signal appliqué aux bornes de l’entrée Y ( la composante continue éventuelle est éliminée par C6 ) est atténué par un atténuateur à plots K1
(rapports 1 – 10 – 100). Ce commutateur permet de prélever une fraction
du signal d’entrée. Les capacités C8, C9, C11 rendent l’atténuation
indépendante de la fréquence.
Il attaque ensuite le cathode follower L5 (a) dans la cathode duquel on a
disposé un potentiomètre de faible valeur constituant un règlage progressif de gain, indépendant de la fréquence. L’étage suivant fonctionne de la manière suivante: (fig. 1 des schémas partiels).

Sur les positions 0,1 – 1 – 10 de K1 , la résistance de charge de la 6AU6
est constituée par R19 et R20, R19 étant shuntée par le condensateur C13.
Aux fréquences élevées, 1’impédance présentée par C13 est nulle et shunte R19, la charge subsistant est R20.
Lorsque la fréquence diminue, l’impédance de C13 augmente et la charge augmente, le gain devient plus important, ce qui permet d’amplifier des signaux
de fréquence très basse ( 2 Hz à 3 dB), malgré l’affaiblissement apporté par l’impédance des capacités de liaison.
Sur la position 30 mV par contre, on élimine le rôle de C13 du fait de
1’adjoncticn d’une forte résistance R18 en série. Le gain aux fréquences
moyennes est multiplié par 3,3. (rapport [R19 + R20 ] / R20 ) mais il n’y a plus de correction aux très basses fréquences. La bande passante est limitée dans sa partie inférieure à 20 Hz.
La self S4 permet d’améliorer la courbe de réponse pour les frequences elevées.
Le signal obtenu est transmis par l’intermédiaire du cathode follower L5 (b) à 1’amplificateur final L8 L9 (voir schéma de principe Ampli Y ).
L’étage final est un amplificateur symétrique à liaison cathodique. Le signal appliqué à la grille L8 se trouve amplifié entre les anodes de L8
et L9. De là, il attaque les plaques de déviation verticales Y1 et Y2.
Les selfs S2 et S3 permettent de corriger l’amplification aux hautes fréquences.
Le potentiomètre P4 (cadrage Y) permet d’appliquer une tension continue variable sur la grille L9. La liaison entre 1’amplificateur symétrique et le tube cathodique étant directe, le cadrage vertical du spot s’effectue sans constante de temps.
4-3 BASE DE TEMPS.
La base de temps comprend:
– un générateur de tension en dents de scie.
– un ensemble de lampes de commande et de circuits de synchronisation.
Pour comprendre le fonctionnement de la base de temps, analysons au préalable le comportement d’un de ses éléments, la bascule de SCHMITT.
4.3.1. Fonctionnement de la bascule de Schmitt. (voir fig. 2 des Schémas  partiels).
Le principe général consiste à produire sur la plaque A2 du tube L15b une tension rectangulaire, en faisant varier le courant de ce tube d’une valeur maximum à une valeur zéro. Cette tension, est prélevée sur une résistance R70 insérée dans le circuit plaque de L15b.
Pour cela, on applique le signal en dents de scie à la grille d’un tube
L15a qui, initialement, est bloqué lorsque L15b débite.
Lorsque le potentiel en P, Vg1 atteint une valeur V1, le tube L15a commence
à débiter. Va1 diminue du fait de la liaison entre la plaque A1 de L15a et
la grille G2 de L15b, Vg2 diminue, et L15b se bloque par effet cumulatif
(liaison réalisée par le diviseur R72 R73).
La bascule a changé d’état et le potentiel Va2 de la plaque est passé
d’une valeur Vf à la valeur + H.T. . Cette impulsion provoque la décharge de la capacité de balayage (la méthode adoptée est exposée dans le paragraphe 4. 3.20.)
La tension en P diminue alors jusqu’à un seuil V2 <  V1 pour lequel le
courant diminuant dans le tube L15a provoque une remontée du potentiel Va1, donc de Vg2 suffisante pour produire le déblocage du tube L15b.
La tension sur A2 , Va2 retombe à sa valeur initiale Vf (voir fig. 3 (a)
des schémas partiels).
La décharge de la capacité de balayage cesse alors (voir explications du
paragraphe 4.3.2.) et le cycle peut alors se reproduire.

4.3.2. Fonctionnement de la base de temps. (voir fig. 4 des schémas
partiels).
La dent de scie est obtenue par la charge (sous une tension suffisamment élevée) de l’une des capacités de balayage C28 à C31 à travers P8 (vernier) et R59. Cette partie du signal est utilisée pour le balayage horizontal  du tube, linéairement en fonction du temps. Le retour à l’état initial s’opère par la décharge de ces capacités à travers L13b .
A – Fonctionnement en position relaxée (voir fig. 4 des schémas partiels).
Le condensateur C30, capacité de balayage se charge sous + H.T. à travers P8 et R59. L’augmentation de potentiel est transmise sur la grille, puis sur la cathode de L10b (cathode follower) ce qui entraîne la variation du potentiel en P.
Supposons la bascule de Schmitt dans l’état initial. L15b conduit, L15a est bloqué, le système bascule lorsque Vg1 (L15a) atteint le potentiel V1  ( + 170 V environ).
L15b se coupe, la grille de L13b dont le potentiel est fixé par la cathode de L12a, reçoit une augmentation de potentiel dûe à l’augmentation du potentiel Va2 transmise lors du blocage.
L13b conduit et la décharge de C30 est amorcée. Puis le potentiel en P
décroit jusqu’à V2 pour lequel L15 bascule à nouveau. L15b se met à conduire donc L13b se coupe (le potentiel e A2 est retombé à Vf) et la capacité se recharge à nouveau.
Fonctionnement en déclenché.
Il n’y a pas de changement pour la charge et la décharge de la capacité
de balayage, pourtant à la fin de la décharge, la bascule de Schmitt
ne change pas d’état.
Considérons la figure 3 (b).
Pour agir sur le niveau V2 seuil de basculement inférieur de L15 , on
peut agir sur la tension plaque Va1 du tube L15a.
Quand L15a conduit lors de la décharge, Va1 ne peut descendre au-dessous d’une certaine valeur, car la diode L14a se met alors à conduire, fixant ainsi le potentiel Va1 à une certaine valeur limite. Cette limite, dont dépend Vg2, peut être descendue de telle sorte que V2 ne puisse être atteint (valeur de Vg1 pur laquelle le tube L15b se débloque). Ce seuil est règlé par le courant du tube L16a. Plus le courant est important, plus le seuil se trouve bas. Le potentiel de la plaque Va1, et par suite
V2 se trouvent de même abaissés.
Le potentiomètre P9 permet de contrôler et règler ce courant, dans L16a
qui est maximum dans la position déclenchée de P9.
Si le seuil diminue (fig. 3b) la décharge se poursuit jusqu’à Vc > V2
la lampe L13a se met alors à conduire, fixant ainsi le potentiel du
condensateur à cette valeur Vc avant que L15 ne bascule, car V2 ne peut
être atteint.
Pour que la capacité de balayage se charge à nouveau, il faut provoquer
le basculement de L15. Ceci peut se faire de deux manieres:
a) Par manoeuvre du potentiomètre P9, le courant dans L16a
Le potentiel sur l’anode de L14a remonte, et L14a se met à
conduire; le potentiel Va1 de la plaque de L15a remonte, donc
V2, ce qui provoque le changement d’état de la bascule (voir
fig. 4 des schémas partiels).
b) En envoyant un signal sur l’une ou l’autre des grilles de L16,
ceci permet, d’une manière analogue, de faire varier ce courant
dans L16a. On est ainsi assuré de provoquer le départ de la
dent de soie en un point bien déterminé du phénomène à étudier
et on obtient alors une bonne synchronisation.
Pour faire diminuer le courant dans L16a, il faut appliquer des impulsions
négatives à la grille de L16a ou des impulsions positives à celles de L16b, ce qui provoquera le changement d’état de la bascule. Les diodes L12b et L14b permettent d’éliminer les impulsions de polarité contraire.
La dent de scie ainsi obtenue est transmise par l’intermédiaire du cathode follower L10a à l’ampli final X.
4.4-AMPLI X.
4.4.1.- L’entrée X synchro élimine par C24 toute composante continue d’un signal extérieur à observer ou utilisé pour la synchronisation. Sur l’une des positions 1 – 2 – 5 – 4 – du commutateur K2, la dent de scie est envoyée sur le cathode follower L10 (a) qui attaque l’une des grilles de l’amplificateur final L11 (voir figure 5 des schémas partiels).
Cet amplificateur est un amplificateu r symétrique à couplage cathodique. On retrouve le signal amplifié entre les plaques de L11, d’où il est appliqué aux plaques de déviation horizontales de l’ampli X.
La tension continue de la grille L11b peut être règlée par l’intermédiaire du potentiomètre P7 (cadrage X) de même que pour le cadrage Y, la liaison directe assure une réponse immédiate du cadrage horizontal du spot.
4.4.2. Sur la position 5 du commutateur K2, la grille de commande L11a est reliée par 1’intermédiaire du cathode follower L10 (a) et de P6 à la borne “Entrée X” ce qui permet de commander les plaques horizontales par un signal extérieur (obtention des figures de Lissajoux relevé d’un trapèze de modulation). Ce potentiomètre P6 assure une atténuation convenable du système.
Sur la position 5 de K2 – R57 résistance de 100 KΩ remplace C30, la capacité de balayage dans le circuit de charge.»
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Il testo prosegue nella terza parte.
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Elaborazioni e ricerche di Fabio Panfili.
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